JEAN RIBIERE
Né à Niort, le 9 février 1922, mort en 1989.
Ce photographe contemporain passionné débute sa carrière au service photo du journal L’indépendant des Pyrénées Orientales en 1940. En 1944, il épouse Micheline VIALLE, journaliste elle aussi. Jean, excellent photographe contemporain et Micheline, grand reporter, décident alors de créer leur propre agence de presse « Ribière Presse Photos ». Ils vendent bientôt leurs reportages à plus d’une centaine de journaux et magazines français et étrangers : L’Express, L’Aurore, Match, Keystone, BBC Londres…
Jean Ribiere était aussi vice-président national de l’ANJRPC, l’Association Nationale des Journalistes Reporters Photographes et Cinéastes. À sa mort, il lègue à sa fille, Hélène TABES, 120.000 documents photographiques (90.000 négatifs noir et blanc, 30.000 diapos et environ 2.000 tirages), ainsi que 150 textes de reportages documentaires, sur la période 1941-1989. L’étude de ces fonds révèle des photographies exceptionnelles, une composition fine et un œil de photographe contemporain parmi les plus remarquable de son temps.
JEAN RIBIERE
Né à Niort, le 9 février 1922, mort en 1989.
Ce photographe contemporain passionné débute sa carrière au service photo du journal L’indépendant des Pyrénées Orientales en 1940. En 1944, il épouse Micheline VIALLE, journaliste elle aussi. Jean, excellent photographe contemporain et Micheline, grand reporter, décident alors de créer leur propre agence de presse « Ribière Presse Photos ». Ils vendent bientôt leurs reportages à plus d’une centaine de journaux et magazines français et étrangers : L’Express, L’Aurore, Match, Keystone, BBC Londres…
Jean Ribiere était aussi vice-président national de l’ANJRPC, l’Association Nationale des Journalistes Reporters Photographes et Cinéastes. À sa mort, il lègue à sa fille, Hélène TABES, 120.000 documents photographiques (90.000 négatifs noir et blanc, 30.000 diapos et environ 2.000 tirages), ainsi que 150 textes de reportages documentaires, sur la période 1941-1989. L’étude de ces fonds révèle des photographies exceptionnelles, une composition fine et un œil de photographe contemporain parmi les plus remarquable de son temps.
DEPART EN VACANCES
JEAN RIBIERE
Né à Niort, le 9 février 1922, mort en 1989.
Ce photographe contemporain passionné débute sa carrière au service photo du journal L’indépendant des Pyrénées Orientales en 1940. En 1944, il épouse Micheline VIALLE, journaliste elle aussi. Jean, excellent photographe contemporain et Micheline, grand reporter, décident alors de créer leur propre agence de presse « Ribière Presse Photos ». Ils vendent bientôt leurs reportages à plus d’une centaine de journaux et magazines français et étrangers : L’Express, L’Aurore, Match, Keystone, BBC Londres…
Jean Ribiere était aussi vice-président national de l’ANJRPC, l’Association Nationale des Journalistes Reporters Photographes et Cinéastes. À sa mort, il lègue à sa fille, Hélène TABES, 120.000 documents photographiques (90.000 négatifs noir et blanc, 30.000 diapos et environ 2.000 tirages), ainsi que 150 textes de reportages documentaires, sur la période 1941-1989. L’étude de ces fonds révèle des photographies exceptionnelles, une composition fine et un œil de photographe contemporain parmi les plus remarquable de son temps.
JEAN RIBIERE
Né à Niort, le 9 février 1922, mort en 1989.
Ce photographe contemporain passionné débute sa carrière au service photo du journal L’indépendant des Pyrénées Orientales en 1940. En 1944, il épouse Micheline VIALLE, journaliste elle aussi. Jean, excellent photographe contemporain et Micheline, grand reporter, décident alors de créer leur propre agence de presse « Ribière Presse Photos ». Ils vendent bientôt leurs reportages à plus d’une centaine de journaux et magazines français et étrangers : L’Express, L’Aurore, Match, Keystone, BBC Londres…
Jean Ribiere était aussi vice-président national de l’ANJRPC, l’Association Nationale des Journalistes Reporters Photographes et Cinéastes. À sa mort, il lègue à sa fille, Hélène TABES, 120.000 documents photographiques (90.000 négatifs noir et blanc, 30.000 diapos et environ 2.000 tirages), ainsi que 150 textes de reportages documentaires, sur la période 1941-1989. L’étude de ces fonds révèle des photographies exceptionnelles, une composition fine et un œil de photographe contemporain parmi les plus remarquable de son temps.